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L'aristocrate perse Chapour BAKHTIAR
ultime Premier Ministre du Chah d'Iran

devant un jeu d'échec, jeu dont les subtiles règles
furent codifiés par les Perses de l'Antiquité.

Toutes les pièces du jeu d'échec, en particulier
la pièce maîtresse, en persan "le Premier Ministre"
(appelé en Occident "la Reine") ,
doivent, avant tout, protéger le Roi.
Ce n'est que lorsqu' il y a "échec et mat" ("le Roi est mort")
que la partie est perdue.

Lorsque Chapour BAKHTIAR fut renversé
par les islamo-révolutionnaires khomeinistes,
les Révolutionnaires interdirent,
pendant plus d'une décennie,
sur l'ordre expresse de l'ayatollah Khomeyni,
le jeu des échecs, invention royale perse antéislamique.

Cette photo fut publiée au moment où Chapour BAKHTIAR
venait d'être nommé Premier Ministre par le Shah d'Iran en janvier 1979.
Ancien engagé volontaire de l'Armée française pendant la Seconde Guerre Mondiale, membre de la Résistance en France sous l'Occupation, Chapour BAKHTIAR, aristocrate perse francophone et francophile, petit-fils et petit-- neveu de Premier Ministre, cousin germain de l'éblouissante Princesse Soraya (deuxième épouse du Shah d'Iran, photo ci-contre), avait été désigné, en sa qualité de dissident royaliste ultra-laïciste régimiste, par le Shah d'Iran, en janvier 1979, au poste de Premier Ministre, comme ultime rempart face à la montée du péril islamo-révolutionnaire.

  
Le pourfendeur du totalitarisme vert

Renversé en février 1979 sous les coups de boutoirs des hordes-révolutionnaires plébéiennes fanatisées, condamné à mort par contumace par les Tribunaux révolutionnaires du sanguinaire ayatollah Khomeyni et de son tout-puissant procureur général l'ayatollah Khalkhali, sous le coup d'une fatwa, après plusieurs mois de clandestinité en Iran, il put se réfugier en France pour poursuivre le combat.

Il s'opposa, jusqu'à son dernier souffle, avec courage et détermination, à la barbarie islamique totalitaire institutée par les révolutionnaires khomeynistes et lutta, de toute son âme, pour restaurer la monarchie perse plurimillénaire.

Il avait coutume de dire:
"Si je parviens à renverser la théocratie des ayatollahs et qu'une République fût alors instituée, je poursuivrai la lutte ... jusqu'à la complète restauration de la Monarchie".

Victime d'une première tentative avortée d'assassinat en exil à Neuilly-sur-Seine le 18 juillet 1980 (perpétrée, sur ordre de l'ayatollah Khomeyni, par un commando irano-libanais mené par le terroriste libanais Anis Naccache, ex-- complice du terroriste vénézuélien Carlos : bilan deux morts, une voisine, Yvonne STEIN, et un officier de police, Jean-Michel JAMME, et deux policiers grièvement blessés, dont un jeune  gardien de la paix, Bernard VIGNA, laissé paralysé à vie), Chapour BAKHTIAR sera finalement assassiné 11 ans plus tard le 6 août 1991 à Suresnes par les sbires des ayatollahs, à peine un an après la surprenante grâce présidentielle accordée à l'ensemble des membres du commando Naccache qui avaient été libérés, de manière anticipée, le 27 juillet 1990, dix ans jour pour jour après la disparition prématurée du Shah d'Iran en exil.  
Chapour BAKHTIAR :
Résistant  contre-révolutionnaire
anti-totalitaire du XXe siècle